Comment imprimer vos plaquettes ?

Au début, si possible en petit nombre Voir les conseils de base

En ligne :

Vous avez un grand nombre d’imprimeurs qui le proposent avec paiement sécurisé (ou pas) sur internet. Pour gagner du temps, je vous propose de consulter les
TARIFS de Yesprint
(qui affiche des prix intéressants et avec paiement par Paypal ou par virement).

Pour les Kakémonos, Oriflammes, Panneaux publicitaires :
voir sur France-banderoles

impression et reliure…des tarifs en ligne : CONTIPRINT
(un service sans engagement)

Sur place :

Chez l’imprimeur Offset : les tarifs sont sensiblement plus élevés mais la qualité des produits est de loin la meilleure (facteur écologique négatif).

Chez l’imprimeur Numérique : le rapport qualité-prix est correct (facteur écologique moyen).

Chez l’imprimeur Numérique-“Ecologiste” : la qualité est correcte, le prix, un peu plus élevé que ceux du précédent mais le facteur écologique est positif, ce qui peut être un atout majeur.

Au magasin de photocopies : c’est le moins cher mais la qualité est discutable (facteur écologique moyen).

Adresses électroniques et adresses web

L’arobase @ pour les e-mails

Quand on se sert de sa messagerie électronique (yahoo, gmail, hotmail, wanadoo, free.fr, libertysurf.fr etc.),
les adresses contiennent le signe @ .

Remarque : Thunderbird et Windows Live, par exemple, sont des LOGICIELS de messagerie : ils permettent de télécharger vos messages directement sur votre ordinateur.

On ne peut pas envoyer un message à une adresse de type http://www.nom-prenom.fr Ce serait comme si l’on tapait une adresse postale sur un cadran de téléphone !

http://www. pour le web (www)

Quand on surfe sur le web, on peut taper dans la zone « location » ou « adresse » du navigateur (Firefox, Safari, Opera, Internet Explorer etc.), l’adresse d’un site web, caractérisé par une série de caractères commençant la plupart du temps par: http://www.

On ne peut taper une adresse de type nom-du-site@dom.com dans « location » du navigateur, on n’obtiendrait aucun résultat. Ce serait comme si vous écriviez un N° de téléphone sur une enveloppe pour l’envoyer par la poste..

Pourquoi « dynamique » ?

Le contenu des pages se gère à partir d’une interface administrative (ou « back office » ou « console de gestion ») accessible en ligne. Les textes et images sont stockés dans une base de données qui reproduira « dynamiquement » les mises à jour, sur l’écran du visiteur : c’est à dire sans manipulation supplémentaire et de façon quasi instantanée. Les internautes peuvent participer à la rédaction de certains contenus du site grâce à de multiples interactions possibles.

Aucune connaissance technique n’est nécessaire, il faut seulement être méthodique.

Avantages – inconvénients d’un site dynamique

• Vous pouvez presque tout gérer, en particulier les textes, les images (dont l’entête du site) que vous voulez mettre en ligne.
• Un choix de « templates » (modèles clé en mains) vous est proposé pour « habiller » votre site.
• Un choix de modules ou extensions ou composants (selon le CMS*) est aussi possible : boutique en ligne, système de newsletter, Forum, Blog, intranet etc.
• Les renseignements que tapent les visiteurs dans les formulaires peuvent être mémorisés pour d’autres utilisations : envoi de newsletter, pages et informations personnalisées, notation etc.
• Une aide en ligne.
• Par contre, pour rendre votre site « unique » et donc modifier l’aspect du « Template », il faut « tremper » dans le code interne du site. Il est nécessaire pour cela de savoir manipuler le code html et css et même le php (langages Web traduisant visuellement le contenu des pages sur un écran d’ordinateur).
• Par contre aussi, le fait de corriger plusieurs fois le contenu des articles à mettre en ligne (couleur, taille, gras, italique etc.), rend ce fameux code interne très lourd et « indigeste » pour les moteurs de recherche : mauvais pour le référencement.
• Un autre inconvénient : pour optimiser des images afin qu’elles ne freinent pas le chargement des pages du site, il faut un logiciel spécial (Gimp, par exemple, qui est gratuit) et savoir l’utiliser.

*CMS :

(« Systèmes de Gestion de Contenu » : ceux qui fournissent l’interface administrative comme Joomla, WordPress, SPIP et Prestashop pour les plus connus)

Des pages numériques pour vos publications internet

• Toute forme d’expression informatique est par définition numérique et tout ce que vous voyez à l’écran a été calculé pour donner ce rendu, par opposition aux pages imprimées qui sont matérialisées et donc fixées (Voir les couleurs d’impression pour mieux comprendre).
• Les pages de Sites, de Blogs, les newsletters sont construites spécialement pour les écrans.Voir la petite « initiation » ci-dessous
• C’est un moyen rapide, économique et écologique de présenter son savoir-faire ou sa spécialité continuellement (24h sur 24) .
• Ces pages circulent sur le Web (planétaire) dans le réseau Internet : c’est donc un excellent moyen de communiquer à distance et de développer sa notoriété.

L’ASPECT VISUEL est la première impression qui donnera envie (ou pas), de vous lire.

Petite « initiation » au langage du Web :

Ceci est un titre : « h1 »

Ceci est un titre d’ordre 2 (sous-titre): « h2 »

Ceci est un titre d’ordre 3 (sous-sous-titre): « h3 »

Ceci est un titre d’ordre 4 (4ème sous-titre): « h4 »

Ceci est un paragraphe : « p »

EN WORD, vous écrivez le texte tel que vous le lisez.

EN HTML, c’est moins simple :

« < p> On entoure le texte (ici un paragraphe) de 2 balises (< p>ouvrante et < /p> fermante) qui disparaîtront quand on visualisera la page internet sur l’écran. < /p> »

Cette écriture « balisée » est le langage que comprend le Web pour afficher le contenu d’une page.

Le langage CSS (feuilles de styles), permet de changer l’apparence d’un élément, exemple pour un texte :

TEXTE BLEU (sans feuille de style),
TEXTE BLEU (avec le style : couleur du texte bleue)

Pour un projet de publication imprimé,
mais conseils également utiles pour votre communication sur le Web :

1. Soyez attentifs aux “retours” de vos prospects,
   toutes leurs questions ou leurs remarques indiquent s’il y a quelque chose à changer sur vos supports ou si votre « communication » est bien faite (intéressant pour reproduire ce qui semble efficace et toujours bon à entendre).
2. C’est pourquoi, au début, je conseille de ne faire tirer qu’un nombre limité d’exemplaires de plaquettes, pour démarrer votre prospection.

3. Maximum : deux polices de caractères

   pour présentez votre projet (au-delà, l’efficacité des contrastes s’annule).
   Les « italiques » et les « gras » servent à souligner certains mots ou expressions, de même que les couleurs.

4. Un objectif clair

   Réfléchissez à ce que vous voulez montrer. Clarifiez vos besoins, vos goûts, vos envies. Regardez ce que font les autres pour cerner votre originalité. Définissez votre « cible » : qui voulez-vous « toucher » ?

Définir votre « IMAGE DE MARQUE »

• Pensez au message que vous voulez que l’on retienne de vous ou de votre activité.
• Comparez les autres marques pour vous donner des idées
• Qu’est-ce qui vous distingue de vos pairs ? (éviter la confusion)
• Décrivez votre savoir faire, vos différences et vos atouts de façon synthétique. Faites des listes.
• Quel symbole pourrait caractériser votre image de marque ?
• Et au final, quel est le mot qui serait le plus adapté ?

Les formats de feuilles :

Quelques  dimensions en millimètres

• A1 = 594 x 840 mm
• A2 = 420 x 594 mm
• A3 = 297 x 420 mm
• A4 = 210 x 297 mm (format favori des lettres administratives)
• A5 = 148 x 210 mm ou 99 x 210 mm (long)
• A6 = 105 x 148 mm ou 105 X 297 mm (long)

Et un petit schéma pour comprendre comment on passe du A4 au A3 et du A4 au A7 …

La newsletter :

• Son but : informer les lecteurs abonnés sur une actualité choisie.
• L‘E-mailing coûte moins cher qu’un courrier papier et offre réactivité et flexibilité (de plus c’est écologique)
• Une campagne e-mailing est ciblée, personnalisée et envoyée en temps opportun auprès de chaque destinataire.

Attention à la lisibilité des images dans vos news-letters

Accompagnez vos visuels par de vrais textes explicatifs (et non en images) si voulez que votre message passe : les logiciels de messagerie sont, par défaut, formatés pour bloquer les images venant « d’expéditeurs inconnus ».

Voir mes prestations pour une newsletter

Des explications claires et détaillées sur :

Le blog de la simple agence

• Choisir sa base de données
• Concevoir son message (contenu et design)
• Comment bien envoyer les emails

LES SPAMS

Ce fléau qui encombre nos boîtes de messagerie

• Définition : envoi de messages non sollicités par le destinataire, généralement à des fins publicitaires : envoi de masse non ciblé = Spam
• Le processus « Anti-spam » est d’analyser les mots-clés interdits (exemple : via gra ou médi cament), le nom et domaine de l’expéditeur et l’adresse IP d’envoi. Si l’un de ces éléments ou si l’adresse email paraît douteux, alors l’email est rangé dans la section spam de votre boîte de réception ou n’est pas distribué. (les spams qui apparaissent dans votre boîte sont ceux qui ont réussit à passer le filtre anti-spam)
• Une activité « lucrative » : plus de 10% des américains ayant reçu un spam ont déjà acheté au moins une fois l’un des produits ou services annoncé (plus de 200 milliards de spams sont envoyés par jour).

Que voulez-vous communiquer ?

Pour partager vos images, vos idées, vos “trouvailles”… Tout, ou presque, afin d’avoir des retours directs sur les sujets que vous avez publiés… ou bien simplement vous faire plaisir. Une « console de gestion » en ligne est mise à votre disposition, vous pouvez y accéder par des identifiants personnels et vous avez juste besoin de savoir remplir les bons « champs ». Vous êtes prolixe, vous écrivez facilement et vous avez du temps devant vous pour “gérer” votre blog (le mettre à jour, ajouter des articles, éventuellement envoyer des newsletters, répondre aux commentaires). Plus vous ajouterez d’articles, plus vous serez « référencé » par les moteurs de recherche (vous choisirez des mots ciblés (« tags »), en rapport avec vos sujets) Vous trouverez facilement des modèles, appelés « templates », pour embellir votre blog ou bien vous pourrez aussi faire appel à un(e) professionnel(le) pour le personnaliser.

Pourquoi « statique » ?

Le site (sa structure, son aspect graphique et son contenu) se conçoit et se met à jour manuellement du début à la fin : aucune base de données comme intermédiaire (pas de risque de piratage). Son design est atypique : c’est une carte de visite détaillée, une « vitrine » sur mesure, qui vous représente mondialement. Les internautes peuvent vous envoyer un message par e-mail mais ne peuvent rien changer dans vos pages.

Il peut être aussi « dynamique » (pétillant, animé, « actif ») qu’un site dit « dynamique ».

Avantages et inconvénients d’un site « Vitrine »

• L’originalité de votre site n’a de limite que les contraintes techniques : nous réfléchissons ensembles sur l’architecture de votre site et sur son aspect graphique.
  Ici l’exemple d’un site spécial avec 4 chartes
• Le code interne de vos pages peut être optimisé pour que les moteurs de recherche trouvent vos pages plus rapidement (c’est un critère de référencement )
• En délégant les mises à jour à un professionnel vous privilégiez vos propres activités : plus de temps pour vous.
• Un(e) interlocuteur(rice) à votre portée et disponible.
• Par contre pour y inclure un forum ou une boutique en ligne (interactivité dynamique), des ressources externes sont nécessaires.
• Le fait de passer par un intermédiare pour mettre à jour le contenu, peut être déstabilisant pour ceux qui préfèrent tout gérer.